Eigenh. Brief mit Unterschrift. - Rare Book Insider
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Eigenh. Brief mit Unterschrift.

4to. 1 1/2 pp. Gedr. Briefkopf. Gelocht. An Herrn Lentz in Aachen: „Wolff möchte eine Aufstellung der abgeschlossenen Verpflichtungen haben. Ich habe die Unterlagen dazu zum Teil Herrn Frnke geschickt. Wollen Sie [so] gut sein und nach den Wollffschen Briefen (und meinen Antworten) eine Liste aufzustellen. [ ]"In der Zeit des Nationalsozialismus erhielt er durch seine Funktion als Präsident der Reichsmusikkammer die Möglichkeit, viele der ihm seit vielen Jahrzehnten wichtigen kulturpolitischen Ziele zu realisieren, die sich an deutsch-nationalen Prinzipien orientieren.
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Eigenh. Brief mit U.

Spontini, Gaspare, Komponist (1774-1851). 4to. 2 pp. Doppelblatt. Mit Adresse und Siegel. Brüche in den Falten; der untere Teil des Briefes lose. An M. Nutly in Paris. Bewegendes Schreiben über den nahenden Tod seines Beschützers Friedrich Wilhelm III. von Preußen [er wird am nächsten Tag, dem 7. Juni 1840, sterben], und über seine komplizierten Beziehungen zu Paris. „Notre très bon et très excellent Roi, qui fut pendant vingt ans mon meilleur ami, mon Père, touche à son heure suprême! et peut-être au départ de cette lettre il ne sera plus!! La consternation générale et le deuil, depuis huit jours, je ne peux pas vous les peindre! il semble que la mort plane dans les airs [.] Il meurt au milieu de toute son inombrable Famille de trois générations! il n y manque que l empereur Nicolas, que l on attend [.] Puis il parle de l Institut, et explique sa conduite envers l Académie des Beaux-Arts (où il a été élu le 15 juin 1839): tout dépend de ma volonté! mais, tant que l Opéra, et le ministre de l Intérieur me couvriront de leur mépris, je me tiendrai le plus loin possible de Paris! et s ils ont l infamie de donner mon Cortez, sans que j y assiste, malgré mon opposition, je n y remettrai jamais le pied, et je les vouerai tous à l infamie, à l opprobre; je crierai à l assassinat de mes ouvrages [.]" - Dann überträgt er, mit Anmerkungen versehen, den Brief, den ihm der zukünftige König Frédéric-Guillaume IV. am 29. Mai über sein Werk zur Reform der Kirchenmusik geschickt hat. „le Prince royal fait l éloge du travail de Spontini, partage son constat, et encourage son projet: Tachez de faire de manière que les Églises Allemandes (du culte romain) profittent des Bibliothèques de musique sacrée [.] En général la musique des églises catholiques d Allemagne est presqu aussi mauvaise que celle en Italie, évitant cependant le scandale de mélodies profanes [ ]"
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2 Briefe mit eigenh. Unterschrift „Law”.

Law, John, schottischer Nationalökonom und Bankier (1671-1729). Folio. 4 pp. À Christian-Louis de Montmorency-Luxembourg, prince de Tingry.Lettres écrites dans les derniers mois du système financier de Law, qui compte toujours sur le soutien du Régent, avant sa banqueroute et sa fuite à l’étranger. Elles sont adressées au Prince de Tingry, lieutenant-général du Roi en Flandre française, et futur maréchal de Montmorency. 6 mars. Il a reçu en même temps sa lettre et celle de M. Méliand [intendant des Flandres]. «La cherté des denrées que cause l’augmentation du prix des especes de billon, quoy qu’elles ne soient pas portées à toute leur valeur, par raport au prix actuel des especes d’or et d’argent, cessera par les nouveaux ordres que S.A.R. se propose de donner sur ce sujet; et je croy même que l’on pourroit remedier dèz a present aux inconveniens de cette cherté, du moins à l’egard des ouvriers employez dans les manufactures, en engageant les entrepreneurs de ces manufactures à leur payer quelque chose de plus que par le passé pour leurs journées». Il ne doute pas que la présence du prince «ne contribüe beaucoup à calmer l’inquietude trop vive que cette cherté passagere peut exciter parmy le menu peuple».21 mars. Sa lettre du 17 «confirme les avis que j’avais déjà reçû du cours avantageux des billets de banque dans les villes de Flandres; et il y a lieu d’esperer que la faveur en augmentera de jour en jour. Mais il n’est pas possible que la banque ait d’autres correspondans que les directeurs des monoyes; le commerce et la circulation feront le reste naturellement».On joint une P.S. par les directeurs de la Compagnie des Indes (Corneault, Fromaget, Gattebois, Hardancourt, Lenormant et Thiroux), ordonnant à leurs commis et préposés de laisser passer le prince de Tingry, porteur en Flandres de 10000 livres, suivant les instructions de Law, ici retranscrites, Paris 15 février 1720 (1 page et demie in-fol.).
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