Fort comme la mort. - Rare Book Insider
Fort comme la mort.

MAUPASSANT (Guy de).

Fort comme la mort.

P., Paul Ollendorff, éditeur, 1889, 1 vol. in-12 (188 x 122 mm) reliure de l’époque ½ chagrin bleu marine à coins, dos à 5 nerfs, auteur, titre et date en pied dorés, double filet doré bordant les plats, tête dorée, couvertures non conservées, de (2) ff. (faux-titre et titre) - 353 pp.Faux-titre et dernier feuillet blanc brunis, cachet humide « Maurice Faure, avocat à la Cour d’appel de Paris » en haut de la page de faux-titre répété en haut de la première page de texte, bel exemplaire par ailleurs.: 1889
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Edition originale du 5e roman de Maupassant, 1 des 100 exemplaires numérotés sur papier de Hollande (N°69), seul grand papier après 5 Japon.Réf. biblio. : Vicaire V-620.
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Les Romantiques chassés du temple. Album Théâtral

Les Romantiques chassés du temple. Album Théâtral, planche N°2.

[ROUBAUD (Benjamin)]. Superbe caricature, non signée, aquarellée et gommée sur blanc de Dumas, Hugo et Lemaître, chassés par Rachel, parue initialement dans la Caricature Provisoire de déc. 1838.Les exemplaires en couleurs d’époque sont rarissimes.Selon le site de La Maison de Victor Hugo :Description iconographique: Cette caricature montre Victor Hugo et Alexandre Dumas chassé du "Théâtre Français" et se dirigeant vers le "Théâtre de la Renais Cendre", allusion au Théâtre de la Renaissance qu'ils viennent de créer. Dumas porte un étendard avec la devise " Adultère Inceste ! Assassinat ! sang ! mort ! damnation ! ". Victor Hugo porte un sac inscrit "blague", une bouteille de "poison" et le texte de "Ruy Blas" sous le bras. Devant eux, de dos, l'acteur Frédérick Lemaître qui vient de créer le rôle de Ruy Blas, tient une paire de bottes et une épée de "Tolède".Commentaire historique: Cette caricature, parue dans « La Caricature provisoire », n° 6, du 23 décembre 1838, fit l’objet d’une édition séparée sous la rubrique « Album théâtral », par Bauger, éditeur de "La Caricature" et du "Charivari". Elle fait allusion à la création du théâtre de la Renaissance, compagnie théâtrale Installée salle Ventadour, qui a été fondée à l'initiative de Victor Hugo et Alexandre Dumas par Anténor Joly, afin de disposer d'une troupe pour jouer le répertoire romantiques. Elle vient alors d’inaugurer sa programmation le 8 novembre 1838 avec la création de « Ruy Blas », avec Frédérick Lemaître dans le rôle-titre. La lithographie, non signée, généralement attribuée à Benjamin Roubaud, est donnée dans le commentaire publiée en 2ème page du journal à « M. de Barray » : « dessins. / M. de Barray, qui estime beaucoup le talent de Mlle Rachel, nous la montre cependant sous des traits peu flattés : c’est elle qui est ici la personnification de la tragédie renouvelée des Grecs, que l’artiste n’aime guère, et d’une administration théâtrale qu’il n’aime pas. Les romantiques, chassés du temple Védel, se réfugient dans celui de la Renais-Cendre, et font fort bien ». Il s'agit en fait d'un pseudonyme « provisoire » de Benjamin Roubaud créé par Philipon au moment du lancement de "La Caricature provisoire" comme le confirme un catalogue des publication de Beauger (Bauger) dans "Le Charivari" du 31 mars 1842 qui précise : " Les romantiques chassés du temple, par Benjamin.50".Nous tenons spécialement à remercier Jean-Paul Roubaud pour ces précieuses informations concernant l'attribution de cette gravure, n'hésitez pas à visiter l'excellent site qu'il consacre, en collaboration avec Pierre Quiblier, à Benjamin Roubaud.
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Sem au bois" ou "Le retour des courses".

Sem au bois” ou “Le retour des courses”.

Le Tout-Paris de la Belle Epoque en 9 mètres de long !SEM (Georges Goursat, dit) - ROUBILLE (Auguste). Spectaculaire et très beau panorama représentant un défilé du Tout-Paris remontant l’avenue du Bois (actuelle avenue Foch) par divers moyens de locomotion ; il s’agit en fait du retour de Longchamp vers Paris des personnalités ayant assisté en 1907 au Grand Prix de Paris, dont le vainqueur était l’Etalon Sans Souci II du Baron Edouard de Rothschild.Dans ce panorama, Sem y a représenté pas moins de 86 personnalités, parmi lesquelles nous reconnaîtrons Georges Clémenceau, Aristide Briand, Leopold II de Belgique, Tristan Bernard, de nombreuses personnalités du Jockey Club. Et une certaine Colette, tout près de son mari Willy et de l'éléphant d'un maharadjah. Auguste Roubille est quant à lui l’auteur des moyens de locomotion. Une des légendes a été masquée à l’origine par une étiquette autocollante. Il s'agit du Comte Boni de Castellane.Ce Panorama était proposé en 2 présentations différentes :- Une version présentant la frise pliée en accordéon formant 24 feuillets dans un cartonnage titré, assez rare.- Une version en rouleau avec les 6 planches (environ 150 x 33 cm chacune) non pliées, destinées à être montées les unes à la suite des autres pour former une frise de 9 mètres de long, beaucoup plus rare. C’est cette version que nous vous proposons ici, complète de son feuillet d’emballage illustré de fers à chevaux, ruban de fermeture en soie bleue partiellement conservé.
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Poh-Dèng

Poh-Dèng, Scènes de la vie siamoise. Illustrations de H. (sic) de La Nézière.

[LA NEZIERE (Joseph de)] - RIVIERE (Pierre-Louis). Magnifique ouvrage sur la Thaïlande illustré de 50 superbes compositions orientalistes de Joseph de La Nézière (le titre indique de façon erronée H. de la Nézière), dont 10 hors-textes et de 10 planches décoratives, le tout superbement mis en couleurs au pochoir.Tiré à 350 exemplaires, 1 des 50 sur Japon (N°62) avec un état en noir (en fait alternativement en noir et en bleu), papier de tête après 12 ex. sur Japon avec aquarelle originale et suite en couleurs et avant 288 ex. sur vélin.Joseph de La Nézière (1873-1944), peintre français. Frère de Raymond de La Nézière, célèbre illustrateur, il a exercé son talent artistique de peintre comme portraitiste, paysagiste, affichiste, journaliste voyageur dans les pays lointains, a peint des dioramas et fait des timbres-poste en France, Moyen-Orient et Afrique. Poh-Dèng est apparemment le seul livre qu'il ait illustré. Provenance : Moïse Lévy de Benzion avec son ex-libris gravé sur bois en couleurs représentant une statue égyptienne. Né à Alexandrie en 1873 et mort en 1943, il était chef d'entreprise et collectionneur appartenant à la communauté des juifs d'Égypte, et propriétaire d'un grand magasin du Caire. Il avait réuni une importante collection d'art et d'antiquités dont la partie située en France, comptant près de mille pièces, fut pillée par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. La majorité des livres a été restituée entre 1946 et 1948, très certainement grâce à cet ex-libris (voir Martine Poulain, Livres pillés, lecture surveillée, Les bibliothèques françaises sous l'occupation, NRF Essais, 2008). Une partie de la Collection Lévy de Benzion s’est vendue aux enchères au Caire en 1947 (900 lots, dont livres).Réf. biblio. : Carteret IV, 343 : " Edition recherchée et cotée ".
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Tractatus de Herbis - Sloane 4016. The British Library

Tractatus de Herbis – Sloane 4016. The British Library, Londres.[Traité de plantes médicinales].

FAC-SIMILE M. MOLEIRO. Fac-similé de très grand luxe, à tirage limité, du Tractatus de Herbis, réalisé vers 1440, conservé à la British Library de Londres sous la cote «Sloane Ms. 4016 ».Il comprend 218 pp. toutes enluminées. Il est considéré par l’éditeur comme "l’édition première, unique ou «Quasi-originaux»".Il a été tiré à 987 exemplaires, numérotés et certifiés devant notaire, ici le N°818, (voir certificat signé de sa main in-fine), il a été tiré en outre 77 exemplaires numérotés en chiffres romains destinés à la British Library, à l’éditeur et au dépôt légal.L’éditeur a fait un fac-similé respectant avec le plus de réalisme possible le manuscrit, allant jusqu'à reproduire les trous de vers ! Le slogan de l’éditeur: «L’Art de la Perfection»!«Durant le Moyen Âge, la médecine fut sans doute la discipline scientifique la plus marquée par les multiples composantes culturelles qui contribuèrent à former la société. Sur un terrain de fond grec, se mélangèrent des apports latins, byzantins, arabes, mozarabes et encore bien d’autres venant d’horizons plus lointains et véhiculés par les cultures avoisinantes du monde occidental. Les plantes médicinales furent ainsi désignées par autant de noms qu’il y avait de cultures à les utiliser pour la préparation des remèdes. Cette multiplicité des noms, qui permettait certes d’identifier de mêmes plantes par diverses cultures, put aussi générer des confusions. Pour éviter ce risque, des dictionnaires virent le jour, tout comme des albums de botanique où des représentations des plantes utilisées dans la pratique quotidienne de la thérapeutique sont accompagnées des noms qu’on donné à ces plantes les populations de toute origine qui composaient la société médiévale. Ce Tractatus de Herbis, codex Sloane 4016, actuellement dans les collections de la British Library à Londres, est l’un de ces outils qui permirent de connecter la variété des noms qu’eurent ces plantes avec les plantes elles-mêmes et ainsi d’éviter des confusions dont les conséquences pouvaient être désastreuses lorsque les plantes administrées aux patients ne correspondaient pas à celles prescrites par les médecins.» (Catalogue de l’éditeur).Vu le soin et l'énergie donnée à la conception de ses ouvrages, l'éditeur les propose à des prix très soutenus. Les exemplaires d'occasion se présentent que très rarement sur le marché.
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